Plaisirs Coupables est la première histoire de la série des Anita Blake, Tueuse de Vampires. Il s’agit là d’une série entamée en 1993, comportant une bonne quinzaine de volumes en langue anglo-saxonne. Mais ce premier tome est surtout la naissance de ce qu’on appelle la Bit-Lit, ou plutôt de l’Urban Fantasy si vous préferez. Les vampires existent, ils sont reconnus et vivent au milieu des humains. Un chémin qui est repris de nos jours dans des romans comme Witchling ou encore Mercy Thompson. Si cet état des lieux est devenu fréquent voir même bateau, Laurell K. Hamilton était la première à instaurer cet univers. Souvent copiée par la suite, nous allons voir si sa série a été ou non égalé depuis.
Ames Perdues de Poppy Z. Brite
Poppy Z. Brite fait parti de ces auteurs que beaucoup évitent de mettre dans leur liste de préférences: tout le monde ne peut pas se dire fan des scènes gores qu’elle peut écrire, ça et là. Et pourtant, ce n’est pas la seule chose qu’elle a écrit, avec entre autre son dernier roman, Alcool, ou même cet Âmes Perdues, un livre soft dont je viens tout juste de finir la lecture. Synopsis.
Disons-le tout de suite, il s’agit ici d’une des œuvres les plus marquantes de la littérature, et pas du tout d’un bon bouquin plus ou moins confidentiel, car c’est un classique très connu. Louis-Ferdinand Destouches, ou Louis-Ferdinand Céline, ou encore Céline pour reprendre son nom de plume, est un médecin et écrivain français né en 1894. Son enfance ne revêt que peu d’intérêt, et il n’est pas réellement nécessaire de s’étendre sur ses dérives antisémites et collaboratrices pour parler de son premier livre, qui ne contient heureusement aucune allusion à ses penchants postérieurs. Néanmoins, le fait qu’il ait été médecin joue grandement dans la construction du livre. En ce qui concerne sa personnalité et sa vie, complexes toutes deux, autant se référer à Wikipédia.
Quand on est un garçon, il arrive souvent que l’on fasse une totale abstraction de certains contes de Disney, comme peuvent l’être la Belle au bois dormant, Cendrillon, Alice au pays des merveilles… Bref, tous ces contes qui ont été médiatisés par Disney et qui ont une connotation très fille. C’est comme cela qu’à bientôt 20 ans, je n’avais toujours pas la moindre idée de ce qu’était le Pays des Merveilles dans lequel s’est un jour retrouvée, par hasard, Alice. Et quelle claque.
La Machine à explorer le Temps fait partie de ces classiques de la Science Fiction, ou plutôt comme nous le verons d’Anticipation. Il m’est difficile de vous donner sa date exacte de parution, car il a existé plusieurs versions de ce roman. H.G. Wells en a écrit l’ébauche en 1888 et la version finale en 1924. Apparement en France, la seule version disponible serait celle de 1895. En tout cas, je parle ici de la version éditée chez Folio SF.
Les contes cruels de Kaori Yuki
Kaori Yuki est une dessinatrice de manga que j’apprecie tout particulièrement. La dame a un style graphique absolument icomparable, qui baigne régulièrement dans une ambiance très gothique. Ces derniers temps, Tonkam a décidé de sortir l’intégrale des oeuvres de Yuki. On a donc eu droit au très beau Ludwyg Revolution (mais très creux), à BloodHound ou encore Boy’s next door. Des histoires courtes mais jolies et généralement agréables.